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1800, 22 février - Johanna Carson

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  1800, 22 février – Johanna Carson   Homicide à motif in d éterminé – battue à mort   Québec – 1 SC   Richard Kelly, criminellement responsable. Aucun autre développement connu.   Selon l’enquête du coroner, Johanna Carson était la veuve de Henry Carson, ancien soldat du 24 e Régiment de sa Majesté. Richard Kelly, soldat du 26 e Régiment, a attaqué sauvagement Johanna pour un motif que nous ignorons. Il l’a battu au point de lui causer des blessures mortelles, dont l’une à la tempe gauche. Après avoir commis son crime, il aurait erré sur place jusqu’à ce que Johanna agonise complètement, vers 3h00 du matin.   À noter que dans La Gazette de Québec , au cours des semaines qui ont précédées le meurtre de Johanna Carson, on invitait tous les créanciers de son défunt mari à venir remettre ce qu’ils devaient à la succession.  

1797, 26 septembre - John Ogilby

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  1797, 26 septembre – John Ogilby   Homicide à motif indéterminé – arme à feu (pistolet)   Québec - ? SC   Non élucidé.   Selon l’enquête du coroner Woolsey , John Ogilby était lieutenant dans le 26 e Régiment. Le 24 septembre 1797, il a été atteint par un tir mortel de pistolet . Le projectile a pénétré dans la partie droite de son ventre, juste au-dessous du nombril , avant de ressortir du côté gauche. L e document ne permet pas de connaître les circonstances du crime. Il semble que le tireur n’ait jamais été ide n tifié.  

1796, 5 mai - Jean Marchand; et Marguerite Debord

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    Homicide à motif indéterminé –    Québec - ? SC   Non élucidé .   Jean Marchand et Marguerite Debord ont été a ssassinés place du marché à Québec par des inconnus. Une récompense de 50 guinées a été offerte pour retrouver les assassins. Selon The Quebec Gazette du 19 mai 1796, les corps des victimes ont été inhumés dans « le bourg de William Henry dans la Province du Bas-Canada. » L’avis de récompense a été publié à quelques reprises au cours de l’été 1796 , mais on ne fourni ssai t aucun détail sur les circonstances du crime.  

Le meurtre non résolu de Baie-du-Febvre

1795, ?- 1 er novembre – Homme non identifié   Homicide à motif indéterminé – Mutilation – Mise en scène   Baie-du-Fèvre, Trois-Rivières – 2 SC   Non élucidé .   Selon une enquête de coroner réalisée dans la maison d’un dénommé Jacques Cloutier à Baie Saint-Antoine (Baie-du-Fèvre) , dans le district juridique de Trois-Rivières, un autochtone du nom de Joseph Constance a trouvé le cadavre d’une personne non identifiée aux abords de la rivière Nicolet le 1 er novembre 1795 et s’est empressé de venir partager sa découverte avec un certain Capitaine Houde. Constance est retourné sur les lieux avec Houde et d’autres hommes pour découvrir que le corps avait été décapité et démembré, en plus d’avoir été poignardé à plusieurs reprises au ventre . Le 5 novembre , le coroner a conclu qu’il s’agissait d’un meurtre. Il a noté que la victime avait eu la tête coupé e , ainsi que les deux bras, la jambe gauche coupée dans «  la jointure du genou et la chair fendue  » . La jam...

Un de nos plus anciens féminicides

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1795, 9 mai – Brigit Cavanagh   Homicide domestique par un conjoint non suicidaire – arme blanche (baïonnette)   Québec - ? SC   Charles Cavanagh , son mari, reconnu criminellement responsable.   L’enquête du coroner sur la mort de Brigit Cavanagh s’est déroulée dans une casemate située près de la porte Saint-Louis, à Québec, le 5 novembre 1795. Brigit était l’épouse du soldat Charles Cavanagh , qui a été tenu criminellement responsable de sa mort. Le crime remontait au 9 mai 1795. Ce jour-là, Charles a tué sa femme de deux coups de baïonnette dans le côté droit de la poitrine. On ignore ensuite ce que la justice lui a réservé comme traitement.